On s’amusait donc de la candeur et de la naïveté d’un tel questionnement, ainsi que de la nature des correspondances bien inutiles que cet homme établissait entre les êtres, les mots et les choses. De la fabrique des chanfreins, à celle des dentelles les plus fines, de la connaissance du calendrier lunaire, à la pratique du bouzkashi, de l’usage de la clepsydre à celui du koto, pas un aspect de ce foisonnement ne semblait échapper à sa collecte.